L’art africain a toujours été dominé par les statuettes et les masques. À la fin de la période coloniale, une grande renaissance de l’art africain a vu le jour. D’autres formes et d’autres principes artistiques sont apparus. L’histoire de l‘Afrique et de son peuple ainsi que l’évolution des Africains se lisent donc en interprétant la tendance de ces arts modernes appelé aussi art contemporain africain.
La tendance Féministe et post-mythologique
La majorité des sociétés traditionnelles sont considérés comme patriarcales. C’est pour cette raison que l’art traditionnel ne représentait pas beaucoup de figure féminine. Aujourd’hui, les tendances art africain prêchent le fait que la femme et les mères seront l’avenir de l’Afrique. L’image d’une femme érotisée ou obligé d’être au foyer est révolue. Ces tendances art africain est exprimée sous différente forme. Par exemple Mickalene Thomas fait des portraits charismatiques des femmes, Joanna Choumali exprime la puissance féminine en utilisant la broderie, etc.
La divinité africaine a aussi changé après la colonisation. Avec la mondialisation et les Dieux occidentaux apportés par les colonisateurs, la vision du monde divine des Africains a été perturbé. Plusieurs artistes se basent donc sur la représentation de cette confusion et le maintient des traditions.
La tendance parfois contre le panafricanisme
L’image d’un continent Africain unie et meilleure que les autres est dépassée. L’idée de revenir à un monde antérieur supposé paradisiaque est ainsi démodée. Les tendances art africain se concentrent maintenant sur le développement et la modernité du continent. Cet avancé ne peut se faire qu’en se reliant aux mondes alentours. Mais cela n’implique pas la séparation totale avec la racine. Le progrès de l’Afrique dépend de son environnement. Les artistes contemporains africains montrent cette pensée écologique mais mondialisée de plusieurs manières. Par exemple, plusieurs toiles sans peintures mais dessiné avec du plastique fondu, appelé les pétroliers de Yéanzi, sont exposées pour inciter les personnes à sauvegarder l’environnement.
La tendance sur la représentation du corps
Pendant la colonisation, le corps noir a été traité moins valeureux que le corps blanc que ce soit sur le côté physique, mentale ou hygiénique. Après la décolonisation, les Africains ont avancé leur importance et leur beauté. Par exemple, la tresse est une forme artistique des cheveux africains. Depuis 1960, l’artiste Okhai Ojeikere et d’autres ont été inspirés par ce corps africain ou afro-américain. Ils ont pris des photos, fait des peintures ou d’autres formes d’art. Mais cette idéalisation corpusculaire ne doit pas être excessive. La négritude est une idéologie séparatrice et individualiste qui est contraire à l’image de l’Afrique ouverte d’esprit et ouvert à la mondialisation maintenant.